Mon équipement

Cette page est une aide aux parents un peu perdus dans la jungle du cycle, donc aux choix d’un VTT enfant et polyvalent.

ATTENTION : Libre à vous d’acheter votre VTT où bon vous semble, de choisir la marque qui vous correspond, mais veillez à préciser au vendeur lors de votre achat votre style de pratique ou que vous pratiquez le VTT en club (ce n’est pas pour aller chercher le pain ou aller à l’école). Certains vélos ne sont pas adaptés à une activité soutenue (détérioration rapide, risque de casse). Notre équipe d’encadrants est à votre écoute pour d’éventuels conseils.

Un casque

Homologué NF ou CEE, à sa taille, il faut le changer au moindre choc car ses matériaux absorbateurs seront moins efficaces, et dans tous les cas le changer tous les 5 ans.

 

Tous protéger notre tête pour que l’on puisse pratiquer notre sport favori le plus longtemps possible. Non il ne tient pas chaud, oui il décoiffe, mais qu’est­ ce qu’un coup de peigne comparé à une vie ?

Bien le régler : un casque mal mis ne sert à rien !

Les vêtements

Le Short, deux écoles…

Short long ou « Baggy »

Très tendance, bien en toute circonstance, avec toutefois un petit bémol, il s’accroche parfois dans le bec de selle (il paraît).

Le Cuissard

Il est le favori chez les XCrosseurs et les routiers. Léger, il se fait vite oublier. Attention toutefois à ceux qui seraient de nature pudique, c’est un vêtement très collant.

Les deux se portent à même la peau, sans culotte, sinon la peau de chamois (qui n’est pas en chamois) ne sera pas efficace et pourra occasionner des brûlures par frottement.

Les maillots

Manches courtes, manches longues, de différentes matières pour toutes les saisons. Bien ajusté pour ne pas gêner le pilote, il vaut mieux un maillot pas cher qu’un tee-shirt en coton qui garde l’humidité.

Les gants

Les mitaines

Les plus répandus, de moins en moins tendances en VTT, question de protection : après une rencontre avec les ronces, nos doigts s’en souviennent.

Autre version entre les deux

Les longs

Il offre une bonne protection, sans impression de chaleur grâce à leur conception et leurs matériaux. Il y en a de plus épais pour la période hivernale.

Les lunettes

Les yeux, il est impératif de les protéger, on comprend pourquoi. On les porte par tous les temps, elles protègent des projections de boue, cailloux, des branches.

Pour ceux qui portent des verres correcteurs, pas de souci. Pour les autres, il y a deux solutions : avoir de l’argent et acheter une paire pour le soleil et un paire pour le mauvais temps, ou prendre des lunettes avec des verres interchangeables.

Les chaussures

Une bonne paire de basket avec des crampons pour avoir une bonne accroche sur les pédales et pour une bonne adhérence lorsque le sol est boueux (on est pas tout le temp sur le vélo).

Certains préconisent des cale-pieds, pour être mieux calé. Encore faut­-il qu’il soit à votre taille (voir … ) Les Facultatifs qui rendent service. Le Masque: utilisé en DH et BMX
Toujours pour la DH, équipement obligatoire, sinon en cas de chute, le risque est majeur.
Exemple: lors d’un arrêt en côte ils sont difficiles à remettre, et il y a un risque d’accrochage à tout ce qui dépasse du sol.

Chaussures à cales, pour pédales automatiques : ce sont les favorites des cyclistes. On est bien accroché, on peut pousser et tirer sur les pédales. Il en existe de toutes les sortes, de la simple basket à la chaussure de champion. Elle demande un temps d’adaptation pour ce familiariser à l’accrochage et décrochage. Ces chaussures sont interdites lors des séances de notre école vtt.

Les facultatifs qui rendent service

Le Masque, utilisé en DH et BMX.

Toujours pour la DH, équipement obligatoire avec le casque, sinon en cas de chute, le risque est majeur.

Trial, DH, et dès l’instant que l’on travaille la technique. Les protège-tibias et genoux : très bien en cas de chute, et surtout contre les retours de pédale qui peuvent vous occasionner des points de sutures.

Ces petits picots qui sortent de la pédale son redoutables sur nos tibias.

Dans mon sac à dos

Primordial en VTT, le sac à dos est la remorque de survie du vététiste, si on n’oublie rien !!. Pas la peine d’avoir un sac de 50 litres, un de 10 à 15 litres suffit largement, de préférence avec une poche à eau avec minimum 1,5 litre d’eau (sinon une gourde de 750 ml, sur le cadre ou dans le sac).

Petit et léger, il faut bien l’ajuster pour ne pas qu’il bouge et ne pas laisser pendouiller les lanières qui risqueraient de s’accrocher.

Avec leur poche à eau allant jusqu’a 2 litres de liquide, ces sacs nous permettent de ne pas nous déshydrater lors des sorties chaudes. Sinon, une gourde fait l’affaire mais 750 ml minimum et c’est bien souvent insuffisant.

Petite astuce : pour que votre poche à eau ou votre gourde n’ait pas une odeur désagréable ou des tâches de moisissure, la rincer après utilisation et la mettre au congélateur.

La loi, et c’est une bonne chose, nous oblige à avoir un gilet de signalisation pour être vu des autres usagers si on se fait surprendre par la nuit, le brouillard, la pluie. Il est aussi obligatoire d’avoir de l’éclairage en état de fonctionnement et des dispositifs réfléchissants d’origine sur le vélo.

Pour ne pas le perdre ou se le faire voler, on peut mettre son éclairage dans son sac à dos et le sortir à la nuit tombante.

Des outils pour me dépanner

Une pompe : qui fonctionne et adaptée à mes valves de chambre à air.

Un câble de frein (si frein mécanique bien sûr).
Un câble de dérailleur.

Des colliers à serrage rapide. Si, si, ça “sert” dans tous les sens du terme.

Un dérive chaîne, qui permet de réparer une chaîne qui vient de casser, faut-il encore savoir faire !!!!

Un multi outil, sorte de couteau suisse du vététiste, tous les outils en un.

Chambre à air, à la bonne taille et avec une valve (schraber ou presta) adaptée à ses jantes.

En caoutchouc ou en latex, je préfère ce dernier car en 3 ans, zéro crevaison, avec quand même quelques inconvénients : – il vieillit mal, il vaut mieux changer de chambre tout les 3 ans sinon à un moment ou un autre la chambre peut éclater. – il faut regonfler la chambre avant chaque sortie, car c’est un matériau poreux, et elle perd de la pression en une semaine. Mais comme on est censé vérifier sa pression avant chaque départ !!. – on en trouve qu’en 26 pouces – elle est plus onéreuse, en moyenne 7 à 8 euros.

Un boîte de rustine à coller, ou autocollante si on ne sait pas les coller.

Une petite trousse de secours avec au minimum :

 – Une couverture de survie

– Des compresses stériles

– Bande ou filet élastique pour tenir les compresses

Si ce n’est pas pour nous, ça peut aider quelqu’un d’autre.